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mardi 29 juin 2010

J'ai froid

J'ai froid présentement
Tous les membres de mon corps
Sont figer
Mes yeux sont glacés
De larmes
Je me sens pendre
Dans le néant
Dans un infini vide
J’ai l’impression que mon cœur
C’est transformer en cristaux
Qui se détache
Tranquillement loin de mon âme
Toujours plongée dans l’incertitude
Dans l’ennui dans la peur
Jamais savoir ce que sera demain
Pourtant quand je réussi
A fermer quelques instants
Les yeux
Je ne peux m'empêcher de rêver
A toi! Me disant
De ne pas m’inquiéter
De sentir ta main prendre la mienne
Pour me diriger
Vers la vie que j’avais souhaitée
Mais malheureusement
Je dois toujours me réveiller
Et revenir a la réalité
Qui un jour finira
Par m’emporter

8 décembre2009-12-08
Isabelle

Nostalgique

Nostalgique
Sans doute beaucoup
Dans la pénombre de la jeune nuit
Une noirceur presque complète
Envahi la pièce
Quelques frissons
Me parcoure le corps
Dans un silence presque absolu
J’essaie de m’arrêter
Arrêter sans cesse
De me torturer
Seule dans cette nuit
Encore une fois envahi
Par mes pensées
Celle qui me rappelle
Encore que ce soir, tu n’es pas la
Autant de mots, de lignes composées
Pour essayer de m’expliquer
J’essaie pourtant de me raisonner
En me disant de t’accepter
Comme tu es
Que c’est sa vraiment aimer
Si tu te doutais a quel point
Tout ces soirs, comme je me sens
Déserter
2008
Isabelle

Comment écrire

Comment écrire tout
Ce que je ressens?
Le mal, la peur, le froid
Ouin le froid qui sans cesse
Transperce tout mon être
Être ce que je suis, comme je suis
Même si cela, ne ta guère plus
Si tu savais, tout ce que j'aurais pu
Si seulement une fois
Tu m'aurais dit oui!
Ce soir seul dans ma noirceur
Je traverse cette maudite nuit
La seule qui généralement
M’est accordé avec toi
Comme touj9ours je resterais
Sans savoir le pourquoi
Tu n’es pas venu ce soir?

4 mai 2007
Isabelle

MARTIN

Depuis plus d’une semaine
Tu ne cesse de me faire de la peine
Sans te soucier du passé
Je ne c’est pas ce que tu veux
Je ne c’est pas quel est ton jeux
Je ne me fais que de faux espoirs
Tu veux que je t’oubli
Tu veux qu’ont restent
Seulement des amis
Mais moi quand j’entends ta voix
Je ne peux me défaire de toi
Je veux que tu sortes de ma vie
Qu’ont ne restent même pas des amis
Et peut-être dans quelques mois
Je te redonnerais des nouvelles
De moi, je crois!
Pour le moment il me faut
Du temps
Pour me persuader
Que tu m’as bel et bien quitté.

1997
Isabelle

Arrête!

Arrête de rêver
Il ne t’aimera pas
Arrête de soupirer
Sa marchera pas
Arrête de le regarder
Tu perds ton temps
T’es plus une enfant
Arrête de soupirer
Jamais il ne va t’aimer
Arrête d’espérer
Que sa pourrais changer
Arrête de penser
Qu’un jour il pourrait t’aimer
Arrête de fabuler
Sa te fais juste pleurer
Arrête sa fais trop mal.

1996
Isabelle

Violée

Femmes attaquées
Filles blessées
Amour propre brisée
Corps saccagé
S’attarder sous la douche
Pour mieux effacer les mains
Mains qui m’ont fais mal
Mains meurtrière
Qui sont pris dans une souricière
Ont ne peut y échapper
Arrêter de nous faire mal
Vous détruise notre vie
Car chaque jour qui suivra
Ont rêvera qu’a cela
Aux gestes malsains
Qu’ont ne méritaient pas


1994Isabelle

Infranchissables années

En moi j’ai mal d’une souffrance continue
Qui détruit mon moral
Un simple bonheur jamais connue
Un rêve inconcevable, une peine si cruelle
Je rêve à Lamour enfermé dans ma solitude
Détestant chaque jour
Désormais prisonnière de cette lassitude
Je bascule dans le néant
Rêvant de doux moment
Alors que lentement le temps s’écoule
Et que ma vie s’écroule
J’ouvre une porte sur un infini vide
Contemplant ma vie ce tableau livide
Avec cette flamme a jamais morte
Une flamme de joie ne flamme de bonheur
Qui autrefois consumais doucement mon cœur
Mais elle a disparue soudainement
Submerger par les flots de larmes que j’ai versées
Pour soulager ce lourd fardeau, celui d’aimer
Malgré cette barrière infranchissable
Celles des années entre moi et cette vie
Inoubliable
J’aurais voulue naitre avant
Et je voudrais calmer ce vent
Qui sans cesse souffle sur mon cœur
Alors ainsi je ne fais que rêver
Je ne fais que fuir la réalité
Alors que peut être qu’un jour jaillira
Une lueur d’espoir
Qui viendra d’un cœur de sauveteur
Qui sera la pour m’aimer et m’écouter.

1995 Isabelle Savard